mercredi 27 février 2013

LFQA News!

22 au 25 mars 2013 : Baptêmes de sauts en parachute en tandem.
 28 Mars : Réunion des usagers. Plus d'informations prochainement.
 Nous profitons de ce post pour vous rappeler que la circulation des engins motorisés...
est réglementée sur l'aérodrome. Merci de vous garer correctement en optimisant l'espace!
 Nous ne sommes pas à Disneyland ;-)

samedi 23 février 2013

Manuel de vol Extra 200


Manuel de Vol Dyn'Aéro CR100


Manuel de Vol du Dyn'Aero Cr120



Radio Fisler sur Extra 200 : Connaissez votre matériel


Installation Accéléromètre PGM 1212 sur le KV

Accéléromètre PGM1212 (Source France Voltige)


La société Esprit Lean SAS a repris les salariés et les actifs de la société MEV, conceptrice de l’accéléromètre PGM1212. Après une période de flottement due à la reprise et surtout au ré-approvisionnement des composants, le service sera effectif à partir du mois de septembre. 

La société continue d'assurer la révision/calibrage et le dépannage des PGM1212 avec les mêmes tarifs.
Afin de gérer globalement ces problèmes et dans un esprit de qualité la société Esprit Lean propose aux aéroclubs d'effectuer un rétrofit. Afin de réduire les coûts et donc les prix, une opération groupée de rétrofit est organisée. 
Il est à noter que les nouvelles cartes électroniques permettent d'augmenter la traçabilité des derniers vols de 250 à 3600.

Note: Le rétrofit consiste exclusivement en: 
• Démontage 
• Dessoudage du capteur d'accéléromètre 
• Mise en place de 2 cartes électroniques neuves équipées avec remise en place du capteur d'accéléromètre d'origine 
• Remontage, changement des piles lithium et des accus NiCd 
• Reprogrammation
• Calibration 
• Expédition 

Contact : 

Esprit Lean SAS, 4 rue Douladoure, 31100 Toulouse 
09 80 32 48 78 / 06 86 66 25 42

fabienne.gandol@espritlean.fr

vendredi 22 février 2013

Préservation des nuisances sonores à Persan

Consignes Horizon Voltige


Bonjour à tous:

Je vous retransmets un compte-rendu très important de l'association qui gère les "intérêts" de la plate-forme de Persan-Beaumont (AUAPB). Comme beaucoup d'aérodromes en France, les riverains, sans vergogne, voudraient voir ces voisins encombrants que nous sommes mettrent fin à nos activités et mettrent la clé des hangars et autres avions sous les portes. Persan est particulièrement sensible à cet état de fait. Comme depuis la création de notre club, discipline et respect des procédures établies seront les garants de la pérénité de notre activité sur ce site.

"Lors de leur dernière réunion avec l'AUAPB et les instances administratives et politiques régionales, il a été décidé d'installer un sonomètre au Mesnil en telle...dans le jardin de la Présidente du mouvement...à compter du 1er Mars.

Le but, pour le comité des riverains, est à terme de supprimer toutes les nuisances sonores aéronautiques, et donc de faire fermer le terrain de Persan-Beaumont.
La voltige n'est pas la seule activité dans le collimateur, le vol de nuit est aussi sur la sellette.

Le but maintenant pour nous tous est de montrer que le bruit généré par nos avions, et autres engins volants, n'est pas aussi important que nos opposants le prétendent.

En ce qui concerne notre activité "volatoire", je vous demanderai de bien vouloir aller voltiger le plus loin possible du Mesnil en Telle (centre FPA).
Aller si possible du côté de la carrière, pour le moment il semblerait que nous n'ayons pas d'opposant dans cette partie du box."

Rappels sur les procédures en oeuvre à Horizon Voltige:

- Après décollage: Réduction aux paramètres de montée à 25 pouces et 2500 t/m passant 400ft sol,
- A l'approche: Passage plein petit pas en finale sauf pour les pilotes en phases d'instruction initiale sur Extra  200. Dans ce cas passage en vent arrière (C/L vent arrière cf manuel de vol),
- Respect du volume de voltige et des horaires comme stipulé dans le réglement intérieur.

Bons vols à tous

Gilles

jeudi 21 février 2013

jeudi 14 février 2013

Information Parachute STRONG 303

Ils équipent l'HC et sont plutôt efficaces...

De l'utilisation des parachutes par Gérard BICHET

SAUTER N'EST PAS JOUER

Info-voltige n°36 - juillet 2000

Cette rubrique énonce des recommandations relatives à la bonne manière de se préparer à une éventuelle évacuation en urgence de nos avions. Certains événements récents montrent que cette préoccupation ne doit pas être absente de nos esprits.

1- Installation
L'installation à bord est un art difficile, surtout dans nos monoplaces ; nous y reviendrons lors d'une prochaine rubrique " sécurité ".

De quelque manière qu'on envisage cette installation, elle a deux objectifs contradictoires :

faire en sorte que l'on soit le plus étroitement possible attaché à l'avion, conformément à la réglementation (ceinture cinq points plus harnais de sécurité), confortablement et en mesure d'effectuer tous les mouvements nécessaires, sans entrave particulière.

a contrario, faire en sorte qu'on puisse se détacher le plus rapidement possible de l'avion, lorsque nécessaire, afin de l'évacuer sans perdre un temps précieux dans ces instants.
En conséquence, le pilote doit pouvoir se libérer par simple ouverture des ceintures. Compte tenu, par exemple, du fait que l'on oublie en général de retirer (ou plutôt de débrancher) son casque au moment crucial, il convient de faire en sorte de pouvoir quitter l'avion avec le casque sans l'avoir débranché.

En conséquence, les ceintures doivent impérativement être bouclées par dessus tout autre fil, casque compris. En particulier, bannir tout enroulement de fil autour des ceintures d'épaules pour résorber une " sur-longueur " gênante…

2- La procédure de sortie
L'ordre des gestes est impératif :

1) largage verrière (ou au moins ouverture si le largage est impossible) ,
2) débranchement du casque (souvent omis : les fils s'arrachent assez naturellement tout seuls ..) ,
3) débouclage ceinture ,
4) action " poignée-témoin " sur la poignée du parachute ,
5) évacuation ,
6) action poignée d'ouverture .

Pourquoi ?
1) - déboucler les ceintures avant d'ouvrir la verrière expose le pilote au risque de se retrouver scotché dans le fond de la verrière, sans plus parvenir à manœuvrer la poignée de largage…
2) - l'action " poignée témoin " consiste à regarder la poignée d'ouverture du parachute, à la prendre à la main comme si on voulait la manœuvrer, mais sans le faire. Ce geste peut sauver : il permet de ne pas chercher - trop - longtemps la poignée une fois hors de l'avion. Ne riez pas : les parachutistes, morts après tiré jusqu'au sol une innocente boucle métallique de réglage au lieu de la poignée d'ouverture, ont existé et existerons certainement encore.
3) - le timing entre la sortie et l'action poignée d'ouverture est laissé à l'appréciation du pilote. Il semblerait (après discussion avec des parachutistes réguliers) qu'il vaut probablement mieux ne pas trop attendre (altitude restante mal maîtrisée ou risque de se prendre l'avion dans la figure, une fois en le dépassant vers le bas, en se faisant rattraper par le haut après ouverture).

3- La décision

La décision revient toujours en dernier lieu au pilote. Conformément à une déontologie issue du parachutisme, le choix de déclencher une procédure d'urgence, ainsi que la manière de la conduire, est une liberté imprescriptible et définitive du pilote. Personne ne s'aviserait jamais de porter un jugement de valeur sur un choix d'urgence. Tout au plus se permet-on d'en déduire des enseignements généraux pour les " prochains ". Les gens au sol ne sont pas en situation d'urgence et aucun raisonnement cartésien, fait dans ces conditions, ne tient la route dans l'absolu. Seul l'acteur dans l'action a raison.

4- SOA ou pas SOA ?

Il est clair que la SOA (Sangle d'Ouverture Automatique) permet de s'affranchir du geste d'action poignée d'ouverture. Cependant, elle nécessite de s'éloigner un peu de l'avion, avec une ficelle dans le dos rattachée à un avion, qui n'est pas nécessairement en ligne de vol stable, au risque de l'accrocher quelque part sur la cellule…
Pas de recommandation particulière : il y a probablement autant de très bonnes raisons pour l'utilisation de la SOA que pour l'ouverture manuelle.

5- Entraînement – Préparation

Evacuer dans de bonnes conditions le jour venu, procède d'une double démarche de préparation : une préparation systématique conditionnante et une préparation apériodique de découverte et d'apprentissage.

1) - la préparation systématique conditionnante vise à faire en sorte que des gestes de survie soient menés de manière réflexe au moment opportun. Le caractère réflexe est important pour ne pas laisser la place aux hésitations ou à la viscosité mentale sous stress.
Cette préparation réflexe devrait en toute logique pouvoir porter sur la totalité de la procédure d'évacuation. En pratique, seuls certains aspects de cette procédure peuvent être vraiment simulés. Par exemple, comme il ne faut pas larguer la verrière, la sortie de l'avion devra tenir compte de la présence de celle-ci et des éventuelles ficelles de retenue qui peuvent accrocher le parachute. Dans le cas d'une SOA, il convient de ne pas ouvrir le parachute involontairement. D'autre part, une évacuation réelle peut se faire assez brutalement, sans tenir compte des dégâts occasionnés dans la cellule (arrachement des fils du casque, coups de pieds ou chocs sur les instruments et l'aménagement intérieur, rejet violent des ceintures, etc…). En conséquence, l'entraînement au sol ne peut pas reproduire l'élément important qu'est le timing des l'opérations, puisqu'il fau tun peu respecter le matériel…

Ceci n'empêche pas toutefois de s'entraîner souvent à des exercices d'évacuation en visualisant, le plus précisément possible, l'ordre rigoureux des actions. En particulier, ceci est la seule façon de savoir parfaitement où se situe le système de largage de la verrière, où trouver en général les boucles de ceinture (souvent au centre bien sûr, mais parfois décalées latéralement ou masquée par les plis des vêtements, etc…). Ces exercices peuvent être déclenchés par l'instructeur et par des gens au sol qui, au retour du vol, donnent par surprise au pilote d'évacuer en secouant l'avion et les commandes pour simuler un peu de désordre ambiant !

De manière plus élémentaire, mais tout aussi importante, il a été dit l'utilité de l'action " poignée-témoin " avant de quitter l'avion. Ce geste peut sauver et doit donc être rendu automatique. C'est un geste de base du parachutiste, et le simple fait d'avoir fait un peu de parachutisme le rend rapidement réflexe (même encore plus rapidement que vous ne l'imaginez !). Ce que nous vous proposon pour cela, c'est de la rattacher mentalement à une autre action. Cette autre action, c'est le fait (commun à tous nos avions) de devoir poser les mains sur les côtés de l'avion pour s'appuyer et se mettre debout. Il suffit alors de faire systématiquement précéder ce geste de posé des mains par l'action poignée-témoin, puis de sortir de l'avion avec le parachute sur le dos pour ne plus physiquement pouvoir quitter un avion de voltige sans penser à faire préalablement une action poignée-témoin. Ce conditionnement mental (car s'en est un) fera que le jour venu, même sous stress, le simple fait de poser les mains sur les bords du fuselage déclenchera l'action poignée-témoin avant de sortir. Normalement, vous devriez retrouver la poignée beaucoup plus facilement une fois en dehors de l'avion.
2) - La préparation apériodique de découverte et d'apprentissage a pour but de faire vivre au moins une fois, et si possible plusieurs, les situations physiques et mentales d'urgence pour en diminuer l'effet d'inconnu (donc, de peur). Elle peut revêtir plusieurs forme. Par exemple, faire un saut d'initiation permet de se jeter au moins une fois en dehors d'un avion. Faire un exercice d'évacuation et ouvrir le parachute réellement le jour ou celui-ci doit être donné au spécialiste du repliage, est une bonne façon d'enchaîner la totalité des gestes d'évacuation.

Il devrait également être possible de concevoir un exercice accroché au harnais suspendu de para-club, où on se jetterait d'un portique pour se retrouver suspendu à l'horizontale par les hanches (donc un peu en mouvements pendulaires désordonnés) pour finalement regarderla poignée, et l'actionner. Normalement un parachutiste doit passer au moins une fois par au harnais suspendu, afin de répéter les procédures de libération-réserve. Pourquoi pas nous ?

De manière générale, je conseil personnellement de faire une progression parachutiste ou une partie de progression, pour plusieurs raisons : d'abord, le parachutisme est un sport vraiment extraordinaire qui reste en soi une expérience inoubliable, malgrè la peur naturelle qui peut freiner ; ensuite, faire une progression même partielle permet d'aplanir les difficultés relatives à l'évacuation : vaincre la peur de quitter l'avion (le monde dehors de l'avion n'étant plus si hostile, la décision de sauter se fait sans retard ni hésitation), acquérir des réflexes salvateurs (action poignée-témoin et action poignée d'ouverture).

6- Nos recommandations

1) - Soignez l'installation en vue de l'évacuation.

2) - Simulez et " resimulez " les sorties d'urgence en apprenant à fond l'aménagement intérieur de la machine.

3) - Conditionnez le réflexe de l'action poignée-témoin, et quittez systématiquement l'avion avec le parachute sur le dos.

4) - Goûtez au parachutisme, vous ne le regretterez pas !

Comment ne pas obtenir sa médaille de l'aéronautique

C'est tout simple, il suffit de de suivre les recommandations de Marcel Aymé!
A propos du refus de sa légion d'honneur...

     Je regrette à présent de n'avoir pas motivé mon refus et dénoncé publiquement, à grands cris de putois, l'inconséquence de ces très hauts personnages dont la main gauche ignore les coups portés par la main droite. Si c'était à refaire, je les mettrais en garde contre l'extrême légèreté avec laquelle ils se jettent à la tête d'un mauvais Français comme moi. Et pendant que j'y serais, pour n'avoir plus à y revenir, pour ne plus me trouver dans le cas d'avoir à refuser d'aussi adorables faveurs, ce qui me cause nécessairement une grande peine, je les prierais qu'ils voulussent bien, leur Légion d'honneur, se la carrer dans le train comme aussi leurs plaisirs élyséens.

lundi 11 février 2013

19 & 20 février : Etienne sur LFQA



Au programme, Instruction Voltige et Gv!

News du Hangar B2 - Première étape validée!

Avant le démontage
La structure
Le certificat d'urbanisme est positif. Le permis de construire va maintenant être déposé.
Notre entraineur de Didier ne lâche pas l'affaire...

En attendant nous avons besoin de rapatrier et stocker le matériel. Une idée?

Et bien l'hivers...

Parfois c'est long! Mais...

vendredi 8 février 2013

Bilan Sécurité des vols 2012

Horizon Voltige

Ch'ti pèpère Védrines à l'appontage aux galeries Lafayette. Suivant le calendrier de la sécurité des vols,c'était il y a environ...des siècles!

Bonjour à tous,

2013 arrivant, voici le moment  de faire un petit bilan SV 2012 chez Horizon Voltige. Un grand merci tout d'abord à tous les intervenants "Gamelle" (vous savez la petite gazette qui parle de SV ), qui n'a certes parut que 2 fois l'année dernière mais il est vrai que l'activité a été quelque peu distendue. Néanmoins plein de choses intéressantes à signaler. Si aucun gros pépins n'est à relever, comme souvent en SV les petites emmerdes amènent les grosses embrouilles.

  1. Une attention toute particulière sera à porter à la manipulation de la verrière, ustensile indispensable et hors de prix (Voir Gamelle n°6. Y'a même des photos!)
  2. Comme d'hab' Persan est un terrain piègeux. Si les dernières mines anti-personnel ont été retirées récemment (blague) ce terrain reste truffé de balises provisoires rendant le roulage en "traine-queue" hasardeux quand on ne fait pas gaffe! Pour info une hélice dans une balise de cantonnier c'est 2 mois d'indispo et 7000 Euros pour remplacer une pale. Gloups! (C'est même écrit dans le RI. Faut faire gaffe et croyez moi personne n'est à l'abri).
  3. Ah, l'anti-abordage en vol! Comme c'est bizarre ça revient souvent ces petites bêtes là! Respect des trajectoires, surveillance du ciel, être convaincu qu'on est pas les seuls là haut, (pendant qu'on y est) être convaincu que les autres peuvent faire n'importe quoi avec leur vie et surtout celles des autres, être convaincu qu'un contrôleur peut vous rendre de grands services...ou l'inverse! Je vous encourage à relire l'intervention d'Etienne très parlante dans Gamelle n°6. On s'y croirait, d'ailleurs lui y était.
  4. Oh, oh! alors là mes amis un grand classique de l'Extra 200, tout au moins du nôtre.Le défaut de fermeture de la pochette arrière et son lot de bidules qui finit dans le fuselage. Là aussi on a des photos et c'est pas truqué! Les clés de l'essence qui finissent à la roulette de queue, y en a marre! Un dispositif d'attache des clés dans la pochette va être installé dans les prochains jours. Mais la meilleure parade c'est la vigilance. Rappelez-vous, au point d'arrêt et lors de vos actions vitales avant voltige, on check les pochettes! C'est le minimum que l'on puisse faire.
  5. Ah, en matière de "raté de couillon aéronautique" saluons un nouveau né. La balise de détresse qu'on met sur ON avec la tête. Oui, oui, on a tenté (sans le faire exprès of course) et ça marche super bien. Là aussi voir Gamelle n°6 tout y est dit...
  6. Comment finir aux urgences parce que le sanglage était pas top? Un gars bien de chez nous a testé pour vous. Cette fois ci c'est dans Gamelle n°5 avec petit topo d'aéro-médecine.
Voilà,voilà, pêle-mêle les petites emmerdes 2012 qui heureusement n'ont pas mené aux grosses embrouilles qui vous font regretter d'avoir mis le cul en l'air un beau jour de juin ou de septembre... Restons vigilants et attention à la routine pour les plus entraînés d'entre nous. A ce titre je vous rappelle que si vous n'avez pas volé depuis plus de 6 semaines sur Extra 200: Vol avec FI obligatoire. Qu'on se le dise...Et bonne sécurité des vols 2013!

 Gilles
 pour Horizon voltige